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Poesies de François

Textes de poesies

Hommage à Brassens

Quand il revenait à Sète,

Retrouver tous ses copains,

Pour aller faire la fête,

L’amitié était son destin,

Les copains d’abord,

Les copains d’abord.

 

Pour l’auvergnat il leur chantait,

Merci à l’aide reçue,

Quand il n’avait rien et qu’il mendiait,

Un peu de chaleur bienvenue,

Remerciement d’abord,

Remerciement d’abord.

 

Non, elle ne s’appelait pas Fernande,

Mais devant elle il s’est fait tout petit,

A ce jour il se demande,

Comment par elle il fut converti,

Il y pense encore,

Il y pense encore.

 

Ce n’était pas une fleur dans une peau de vache,

Qui vous fait saigner le cœur,

Une de celle à qui nul ne s’attache,

En vous imposant ses aigreurs,

Et qui vous donne du malheur,

Et qui vous donne du malheur.

 

Non il n’allait pas sur les bancs publics,

Exposé aux passant honnêtes,

Ces voyeurs aux regard obliques,

Qui vous épient sans en perdre une miette,

La discrétion vaut de l’or,

La discrétion vaut de l’or.

 

Mais dans l’eau de la claire fontaine,

Par grande chaleur sans être nu,

Porté par une envie soudaine,

Avec ses copains vous l’auriez vu,

Nec fluctuat nec mergitur,

Nec fluctuat nec mergitur.

Avec les copains de bord,

Avec les copains de bord.

 

 

 

 

 

 

 

 

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